EUSÈBE DE Césarée

 

HISTOIRE ECCLÉSIASTIQUE

Pour une raison de droits d'Auteurs le texte a été retiré.

 

Philippe Remacle

 

Préparation évangélique

 

 

 

INTRODUCTION

LIVRE I - texte grec

CHAPITRE PREMIER

Quel est positivement le sujet de ce traité que nous appelons évangélique.

CHAPITRE II

Quel est le langage ordinaire de ceux qui entreprennent de nous calomnier.

CHAPITRE III

Que ce n'est point sans examen que nous avons embrassé la doctrine du salut.

CHAPITRE IV

Que ce n'est point inconsidérément que nous avons embrassé la croyance des vérités les plus salutaires, lorsqu'elles nous ont été présentées.

CHAPITRE V

 Que ce n'est point sans avoir fait de sages réflexions que nous avons abjuré l'erreur superstitieuse de nos pères.

CHAPITRE VI

De la théologie primitive des Phéniciens et des Égyptiens.

CHAPITRE VII

Quel est le système des Grecs sur l'origine du monde ?

CHAPITRE VIII

Opinions des philosophes sur la formation de l'univers.

CHAPITRE IX

Que les hommes de l'antiquité n'ont adoré que les astres, qu'ils n'ont connu ni le Dieu de l'univers, ni l'érection des statues ni les démons.

CHAPITRE X

Théologie des Phéniciens.

 

LIVRE II - texte grec

CHAPITRE I.

Abrégé de la théologie égyptienne et son introduction chez les Grecs.

 CHAPITRE II.

Abrégé de la mythologie des Grecs sur les dieux et les héros.

CHAPITRE III.

Abrégé des initiations secrètes et des mystères occultes du polythéisme.

CHAPITRE IV.

Quelles raisons nous ont déterminés à repousser de semblables doctrines sur la Divinité.

CHAPITRE V.

Résumé de ce que nous avant dit jusqu'ici.

CHAPITRE VI.

Ce que l'on appela les temples des Dieux n'était autre chose que les tombeaux des morts.

CHAPITRE VII.

Sentiments de Platon sur la théologie des anciens.

CHAPITRE VIII.

Théologie des Romains.

 

 

LIVRE III - texte grec

PRÉAMBULE

CHAPITRE I.

De la théologie naturelle des Grecs.

CHAPITRE ΙΙ.

CHAPITRE III

De la théologie allégorique des Égyptiens.

CHAPITRE IV

Suite du même sujet, où nous prouvons que ces interprétations métaphoriques ne conduisent pas en résumé au-delà des astres du ciel, ni plus loin que l'eau, le feu et les autres parties du monde visible.

CHAPITRE V

Toutes ces extravagances portent en elles-mêmes le caractère de leur condamnation.

CHAPITRE VI

Que nous avons eu raison de préférer l'unique vraie théologie aux explications allégoriques des philosophes sur la nature des dieux.

CHAPITRE VII

Quelles explications les philosophes modernes ont ajoutées à la théologie fabuleuse, pour en découvrir les principes.

CHAPITRE VIII

De la confection des statues et des idoles chez les anciens.

CHAPITRE IX

Suite de la théologie allégorique des Égyptiens et des Grecs.

CHAPITRE X

Réfutation de toutes ces allégories forcées.

CHAPITRE XI

Réfutation péremptoire des doctrines des Grecs.

CHAPITRE XII

De l'idole d'Éléphantis.

CHAPITRE XIII

Du sacrifice d'un bœuf offert au soleil à Hiéropolis.

CHAPITRE XIV

Un argument puissant contre les interprétations allégoriques, c'est que leurs auteurs contredisent leur propre doctrine par leur conduite.

CHAPITRE XV

Que d'un autre côté les dieux eux-mêmes accréditent les interprétations des philosophes et détruisent les fables par les allégories qu'ils y opposent.

CHAPITRE XVI

Qu'il faut ranger parmi les choses impossibles, que les parties du monde ou les puissances divines soient soumises à une force magique et rendent des oracles quand on les consulte.

CHAPITRE XVII

Qu'il ne faut attribuer tous ces oracles qu'à l'artifice des démons.

LIVRE IV - texte grec

CHAPITRE I.

Des oracles établis dans certaines villes, et de ceux en particulier dont les réponses célèbres sont dues à des apparitions extraordinaires des dieux. Quelle est la raison du mépris que nous professons pour eux ?

CHAPITRE Il

Combien il est facile de démontrer que toutes ces réponses d'oracles ne sont qu'un tissu de fables et  d'impostures, oeuvre de la fraude et de la fourberie.

CHAPITRE III

On démontre d'après Diogénien que l'art de la divination est dépourvu de fondements, qu'il n'aboutit le plus souvent qu'à l'erreur, et que les prédictions des oracles sont toujours vaines et inutiles, quelquefois même dangereuses.

CHAPITRE IV

Que nous sommes redevables à la doctrine évangélique d'être délivrés de toutes ces misères.

CHAPITRE V

Division de la théologie des Grecs.

CHAPITRE VI

Que ce n'est pus chez nous, mais dans les écrits mêmes des Grecs, que nous avons puisé les témoignages sur lesquels nous appuyons nos démonstrations.

CHAPITRE VII

Exposition des mystères des oracles d'après les témoignages des Grecs : serment au sujet des oracles, tirés des écrits de Porphyre.

CHAPITRE VIII

Il faut se garder de divulguer ce qu’en dit le philosophe.

CHAPITRE IX

Quels sacrifices il faut offrir aux dieux d'après la doctrine de l'oracle d'Apollon.

CHAPITRE X

Qu'il ne faut point regarder comme des dieux véritables, ceux auxquels on offre des animaux en sacrifice.

CHAPITRE XI

Que rien de terrestre ne doit être brûlé et immolé en l'honneur du Dieu suprême.

CHAPITRE XII

Que de semblables sacrifices ne doivent point être offerts non plus aux puissances divines.

CHAPITRE ХIII

Nouvelle autorité en faveur de cette assertion, qu'il ne faut immoler ou offrir rien de terrestre au Dieu souverain.

CHAPITRE XIV

Que les sacrifices d'animaux sont une injustice, une impiété, un crime digne de toutes les imprécations.

CHAPITRE XV

Que les Grecs n'offraient pas ces sortes de sacrifices aux dieux, mais aux démons.

CHAPITRE XVI

Sur les anciens sacrifices humains d'après Porphyre et quelques autres philosophes.

CHAPITRE XVII

Les anciens sacrifices humains abolis par la doctrine évangélique.

CHAPITRE XVIII

Porphyre défend d'offrir des victimes aux méchants démons.

CHAPITRE XIX

Il ne faut s'attacher qu'au Dieu souverain.

CHAPITRE XX

Apollon ordonnant d'offrir des sacrifices aux méchants démons.

CHAPITRE XXI

Notre Sauveur et Seigneur Jésus-Christ, seul libérateur du genre humain, qu'il a affranchi du joug des démons.

CHAPITRE XXII

Manière dont les démons opèrent leurs prestiges.

CHAPITRE XXIII

Des méchants démons et de leurs chefs. Ces mauvais esprits prennent la forme de toutes fortes d'animaux pour tromper les hommes.

 

LIVRE V - texte grec

CHAPITRE I

Nouvelle preuve de l'action des mauvais démons dans les divinations et les oracles des païens : leur impuissance et leur chute depuis la prédication de l'Évangile de notre Sauveur.

CHAPITRE II

Comment s'exerçait l'action des démons.

CHAPITRE III

Multiplicité et diversité des doctrines superstitieuses des Grecs au sujet de leurs dieux.

CHAPITRE IV

Tous les oracles et toutes les prophéties des anciens peuples n'étaient que l’œuvre des mauvais démons.

CHAPITRE V

Tout ce que la fable attribue aux dieux n'est que l'histoire mystérieuse des démons.

CHAPITRE VI

On ne peut attendre que la mort, de ceux mêmes qui portent le titre de bons démons.

CHAPITRE VII

Les démons sont les honteux esclaves des passions lubriques. Quelle est celle qui domine dans chacun d'eux.

CHAPITRE VIII

Aveux des dieux, d'où il résulte qu'ils sont soumis malgré eux à une force irrésistible qui les contraint de céder aux enchantements et aux invocations des hommes.

CHAPITRE IX

Que les dieux ne sont par libres de se dégager, quand ils le veulent, de la nécessité qui leur est imposée par les invocations.

CHAPITRE X

Quels artifices mettent en œuvre les devins pour forcer leurs merveilleuses divinités à se soumettre à eux.

CHAPITRE XI

Que ce sont les démons eux-mêmes, ces prétendus dieux, qui ont instruit les hommes des prestiges à employer contre eux.

CHAPITRE XII

De quelle manière mystérieuse ils veulent que leurs idoles soient confectionnées.

CHAPITRE XIII

La forme de ces statues décrite par eux-mêmes.

CHAPITRE XIV

L'art magique inspiré par les dieux.

CHAPITRE XV

Prédilection des dieux pour la matière inanimée.

CHAPITRE XVI

La chute des oracles prédite par Apollon lui-même.

CHAPITRE XVII

De la mort des démons que les païens prenaient pour des dieux.

CHAPITRE XVIII

Des plus célèbres oracles connus dans l'ancienne Grèce.

CHAPITRE XIX

Invectives contre Apollon au sujet de l'obligation imposée par lui aux Athéniens d'envoyer en Crète sept jeunes gens et sept jeunes filles pour y être immolés.

CHAPITRE XX

L'ambiguïté des oracles d'Apollon cause de la mort d'un grand nombre de ceux qui le consultaient.

CHAPITRE XXI

La ruine de l'empire de Crésus causée par la réponse équivoque d'Apollon.

CHAPITRE XXII

Comment ils se jouent de ceux qui les consultent, et de quelle manière ils les induisent en erreur.

CHAPITRE XXIII

Qu'ils ne savent que cacher leur ignorance sous des termes  obscurs et inintelligibles.

CHAPITRE XXIV

Dans leur impuissance à secourir en aucune manière leurs clients dans les dangers de la guerre, ils ont recours à des réponses équivoques pour leur en imposer et les induire en erreur.

CHAPITRE XXV

Réponse de l'oracle aux Lacédémoniens.

CHAPITRE XXVI

Réponse du même oracle aux habitants de Cnide.

CHAPITRE XXVII

Ils allumaient le feu de la guerre entre les parties qui venaient les consulter.

CHAPITRE XXVIII

Que la réponse faite à Lycurgue, législateur des Lacédémoniens, n'est pas digne d'un dieu.

CHAPITRE XXIX

On n'a jamais obtenu des oracles une réponse sur des choses sérieuses et utiles.

CHAPITRE XXX

Ils ont souvent donné des conseils que le plus simple bon sens dictait de lui-même.

CHAPITRE XXXI

Souvent même ils n'ont donné que des conseils ridicules.

CHAPITRE XXXII

Souvent ils ont pris parti pour les causes injustes.

CHAPITRE XXXIII

Ils ont impudemment accordé les mêmes éloges que le vulgaire aux poètes dont les mœurs n'étaient rien moins que pures.

CHAPITRE XXXIV

Qu'ils ont fait rendre les honneurs divins à de simples athlètes, vainqueurs à la lutte ou au pugilat.

CHAPITRE XXXV

Que ces dieux aiment à flatter les tyrans.

CHAPITRE XXXVI

Qu'ils ont été jusqu'à faire rendre les honneurs divins à la matière inanimée.

LIVRE VI

 

LIVRE VII + texte grec

CHAPITRE PREMIER

Institutions des anciens Hébreux; que c'est avec raison que nous avons mis leurs livres sacrés au-dessus des ouvrages que nous ont laissés nos pères.

CHAPITRE II

Récapitulation des divers points de la théologie des autres nations: de combien de maux elle a été la source pour la société.

CHAPITRE III

Parallèle des mœurs des Hébreux : ce qu'ils ont pensé de l'auteur et créateur de l'univers.

CHAPITRE IV

Leur sentiment sur l'immortalité de l'âme et la nature des corps.

CHAPITRE V

Comment ils méritèrent par leur amour les apparitions et les révélations divines rapportées dans leurs écritures.

CHAPITRE VI

De quel éclat, même avant le judaïsme et la naissance de Moïse, brillait déjà leur piété.

CHAPITRE VII

Que ce fut Moïse lui-même qui consigna dans un écrit particulier la vie des Hébreux qui avaient vécu avant lui.

CHAPITRE VIII

Que nous avons été judicieux et sages de recevoir leur histoire. Exposé rapide des mœurs des hommes religieux qui ont vécu avant le déluge et après, jusqu'à Moise.

CHAPITRE IX

Préceptes dogmatiques des Hébreux.

CHAPITRE X

De la Providence générale, de la création et de l'arrangement du monde.

CHAPITRE XI

Sentiment des Hébreux au sujet de Dieu, première cause de toutes choses.

CHAPITRE XII

Théologie des Hébreux sur le second principe.

CHAPITRE XIII

Sentiment de Philon sur le second principe.

CHAPITRE XIV

Sentiment d'Aristobule sur le même sujet.

CHAPITRE XV

De la formation des créatures raisonnables.

CHAPITRE XVI

Des puissances contraires.

CHAPITRE XVII

De la nature de l'homme.

CHAPITRE XVIII

Sentiment de Philon sur l'âme.

CHAPITRE XIX

Que la matière n'est pas incréée.

CHAPITRE XX

Sur le même sujet. Extrait des Commentaires d'Origène sur la Genèse.

CHAPITRE XXI

Extrait de Philon sur le même sujet.

CHAPITRE XXII

Que la matière n'est point incréée : qu'elle n'est point la source du mal.

 

LIVRE VIII

 

 

LIVRE XV + texte grec

 

CHAPITRE Ier.

PRÉFACE DANS LAQUELLE ON RÉSUME TOUT L'OUVRAGE.

CHAPITRE II

TIRÉ D'ARISTOCLÈS LE PÉRIPATÉTICIEN SUR ARISTOTE ET SUR CE QU'ON EN RACONTE. PRIS DANS SON 7e LIVRE DE L'HISTOIRE DE LA PHILOSOPHIE.

CHAPITRE III.

DES DOGMES D'ARISTOTE. EN QUOI ILS DIFFÈRENT DE CEUX DES HÉBREUX ET DE PLATON SUR LA QUESTION DU BIEN FINAL.

CHAPITRE IV.

D'ATTICUS LE PLATONICIEN CONTRE ARISTOTE, EN CE QU'IL DIFFÈRE DE MOÏSE ET DE PLATON SUR LA QUESTION DU BIEN FINAL

CHAPITRE V.

DU MÊME, RELATIVEMENT AU DISSENTIMENT QUI RÈGNE ENTRE ARISTOTE, D'UNE PART, MOÏSE ET PLATON DE L'AUTRE, SUR LA QUESTION DE LA PROVIDENCE.

CHAPITRE VI.

DU MÊME CONTRE LE MÊME, LORSQUE CONTRAIREMENT AUX DOCTRINES DE MOÏSE ET DE PLATON, IL NIE QUE LE MONDE AIT EU UN COMMENCEMENT.

CHAPITRE VII.

DU MÊME CONTRE LE MÊME SUR LA CINQUIÈME ESSENCE SUPPOSÉE DES CORPS, DONT MOÏSE NI PLATON N'ONT POINT EU CONNAISSANCE.

CHAPITRE VIII.

DU MÊME CONTRE LE MÊME, A CAUSE DES DIFFÉRENCES QUI LE DIVISENT D'AVEC PLATON DANS LES THÉORÈMES CONCERNANT LE CIEL : QUESTIONS AUXQUELLES MOÏSE N'A ACCORDÉ AUCUNE ATTENTION.

CHAPITRE IX.

DU MÊME CONTRE LE MÊME, SUR LE DISSENTIMENT ENTRE LUI D'UNE PART, PLATON ET LES DOCTRINES DES HÉBREUX D'AUTRE PART, CONCERNANT DE L'ÂME.

CHAPITRE X

DU SECOND LIVRE DE PLOTIN DE L'IMMORTALITÉ DE L'ÂME, CONTRE ARISTOTE QUI SOUTIENT QUE L'ÂME EST UNE ENTÉLÉCHIE.

CHAPITRE XI.

TIRÉ DE PORPHYRE SUR LE MÊME SUJET, DANS SON TRAITÉ  DE L'ÂME CONTRE BOETHUS

CHAPITRE XII.

CONTRE LE MÊME, POUR SA DIFFÉRENCE D'AVEC PLATON SUR LA QUESTION DE L'ÂME UNIVERSELLE. TIRÉ D'ATTICUS.

CHAPITRE XIII.

CONTRE LE MÊME QUI TOURNE EN RIDICULE LES IDÉES DE PLATON, QUE LES ANCIENS HÉBREUX N'ONT PAS IGNORÉES, COMME LEURS LIVRES EN FONT FOI. TIRÉ DU MÊME.

CHAPITRE XIV.

DE LA PHILOSOPHIE DES STOÏCIENS; EN QUELS TERMES ZÉNON DÉFINISSAIT LES PRINCIPES. TIRÉ DU 7e LIVRE D'ARISTOCLÈS SUR LA PHILOSOPHIE.

CHAPITRE XV.

QUELLE EST L'OPlNION QUE LES STOÏCIENS ONT CONÇUE DE DIEU ET DE LA CONSTITUTION DE L'UNIVERS. EXTRAIT DE L*ABRÉGÉ D'ARIUS DIDYME.

CHAPITRE XVI.

DE PORPHYRE. CONTRE L'OPINION QUE LES STOÏCIENS SE SONT FORMÉE DE DIEU. TIRÉ DE LA RÉPUTATION DE BOETHUS DANS SON LIVRE DE L'ÂME.

CHAPITRE XVII.

QUE L'ÊTRE PAR EXCELLENCE N'EST PAS UN COPS COMME LE VEULENT LES STOÏCIENS. TIRÉ DU PREMIER LIVRE DE NUMENIUS SUR LE BIEN (περὶ τἀγαθοῦ)

CHAPITRE XVIII.

CE QUE LES STOÏCIENS PENSENT SUR L'EMBRASEMENT DE L'UNIVERS.

CHAPITRE XIX.

DE L'OPINION DES STOÏCIENS SUR LA PALINGÉNÉSIE UNIVERSELLE.

CHAPITRE XX.

DES OPINIONS QUE LES STOÏCIENS SE SONT FORMÉES SUR L'ÂME.

CHAPITRE XXI.

RÉFUTATION PAR LONGIN DE L'OPINION QUE LES STOÏCIENS SE SONT FORMÉE DE L'ÂME.

CHAPITRE XXII.

CONTRE LES STOÏCIENS, POUR DÉMONTRER QU'lLS NE PEUVENT PROUVER QUE L'ÂME SOIT UN CORPS. TIRÉ DE PLOTIN, SUR L'ÂME.

CHAPITRE XXIII.

OPINIONS DES PHILOSOPHES PHYSICIENS SUR LE SOLEIL (Plutarq. Philosopic. placit. l. 2, c. 20. Stobée, l. 1er, ch 26, p. 522, de Heeren).

CHAPITRE XXIV.

DE LA GRANDEUR DU SOLEIL (Ibidem, c. 21.).

CHAPITRE XXV.

DE LA FORME DU SOLEIL (Ibidem, c. 22.).

CHAPITRE XXVI.

DE LA LUNE (Plut. Ibidem, c. 24.).

CHAPITRE XXVII.

DE LA GRANDEUR DE LA LUNE (Plut. Ibidem, c. 25.).

CHAPITRE XXVIII.

DE LA FIGURE DE LA LUNE (Plut. Ibidem, c. 26.).

CHAPITRE XXIX.

DE LA LUMIÈRE DE LA LUNE (Plut. Ibidem, c. 28.). 

CHAPITRE XXX.

QUELLE EST L'ESSENCE DES PLANÈTES ET DES ÉTOILES FIXES (Plut. Ibidem, c. 13.).

CHAPITRE XXXI

DE LA FORME DES ASTRES. (Plut. Ibidem, c. 14.).

CHAPITRE XXXII.

COMMENT LE MONDE A ÉTÉ FORMÉ (Plut. Ibidem, Liv. 1er c. 6.).

CHAPITRE XXXIII.

SI LE TOUT EST UNIQUE (Plut. Ibidem, Liv. 1er c. 5.).

CHAPITRE XXXIV

SI LE MONDE A UNE ÂME ET S'IL EST GOUVERNÉ PAR UNE PROVIDENCE. (Plut. Ibidem, Liv. 2 c. 3.).

CHAPITRE XXXV.

SI LE MONDE EST INDESTRUCTIBLE  (Ibid, Liv. 2 c. 4.).

CHAPITRE XXXVI.

D'OU LE MONDE S'ALIMENTE-T-IL ? (Plutarch. Ibid, l. 2 c. 5.).

CHAPITRE XXXVII.

PAR QUOI DIEU A-T-IL COMMENCÉ A CRÉER LE MONDE (Ibid, l.. 2 c. 6.).

CHAPITRE XXXVIII.

DE L'ARRANGEMENT DU MONDE (Plut. Ibid, l.. 2 c. 7.).  

CHAPITRE XXXIX.

QUELLE EST LA CAUSE DE L'INCLINAISON DE L'UNIVERS. (Ibid, l.. 2 c. 8.)

CHAPITRE XL

SUR LÀ QUESTION DE SAVOIR S'IL Y A VIDE EN DEHORS DU MONDE. (Ibid, l.. 2 c. 9.).

CHAPITRE XLI  

QUELLE EST LA DROITE DU MONDE ET QUELLE EN EST LA GAUCHE. (Ibid, l.. 2 c. 10.).

CHAPITRE XLII.

DU CIEL ET DE SA SUBSTANCE  (Plut. Ibid, l.. 2 c. 10.).

CHAPITRE XLIII.

DES DÉMONS ET DES HÉROS. (Plut. ibid, L. 1er, 8.).  

CHAPITRE XLIV.

DE LA MATIÈRE (Plut. ibid, L. 1, 9.).

CHAPITRE XLV.

DE L'IDÉE EXEMPLAIRE  (Plut. ibid, L. 1, c. 10.).

CHAPITRE XLVI.

DU CLASSEMENT DES ASTRES  (Plut. ibid, L. 2 c. 15.).  

CHAPITRE XLVII.

DE LA DIRECTION ET DU MOUVEMENT DES ASTRES (Plut. ibid, L. 2 c. 16.). 

CHAPITRE XLVIII.

D'OU LES ASTRES TIENNENT-ILS LEUR LUMIÈRE (Plut. ibid, L. 2 c. 17.).

CHAPITRE XLIX.

DES FEUX APPELÉS DIOSCURES  (Plut. ibid, L. 2 c. 19.).

CHAPITRE L.

DE L'ÉCLIPSE DU SOLEIL (Plut. ibid, L. 2 c. 24.).

CHAPITRE LI.

DE L'ÉCLIPSE DE LA LUNE (Plut. ibid, L. 2 c. 29.).

CHAPITRE LII.

DE LA FACE DE LA LUNE ET POURQUOI ELLE RESSEMBLE A UNE TERRE (Plut. ibid, L. 2 c. 30.).

CHAPITRE LIII.

DE LA DISTANCE DE LA LUNE AU SOLEIL (Ibid, L. 2, c. 31.).

CHAPITRE LIV.

DES ANNÉES (Ibid, L. 2, c. 32.). 

CHAPITRE LV.

DE LA TERRE  (Plut. Ibid, 3, c. 9.). 

CHAPITRE LVI

DE LA FORME DE LA TERRE (Ibid, L. 3, c. 10.). 

CHAPITRE LVII.

DE LA SITUATION DE LA TERRE  (Plut., ibid, L. 3, c. 11).

CHAPITRE LVIII.

DU MOUVEMENT DE LA TERRE (Plut. ibid, L. 3, c. 13.). 

CHAPITRE LIX.

DE LA MER, COMMENT ELLE S'EST RASSEMBLÉE, D'OU VIENT SON AMERTUME (Plut. Ibid. L. 3.c. 16).

CHAPITRE LX.

DES PARTIES DE L'ÂME (Plut. ibid. L. 4. c. 4.).

CHAPITRE LXI

DU PRINCIPE DIRIGEANT DE L'ÂME (Plut. ibid. L. 4. c. 5).

CHAPITRE LXII.

QUE SOCRATE LE PLUS SAGE DES GRECS MONTRAIT LA FOLIE DES PHILOSOPHES QUI TIRAIENT GRANDE VANITÉ DE LEUR SCIENCE EN PHYSIQUE : COMMENT IL FAISAIT VOIR QU'lLS USAIENT LEUR TEMPS A DES CHOSES D'ABORD INUTILES A LA VIE, PUIS INCOMPRÉHENSIBLES (Xénoph., Mémorab., L. 1er, ch. 1er).